La forte valeur culturelle et donc sociale de la danse peut se déployer au travers de technologies intégrées dans la vie quotidienne. Elles touchent tout un chacun par la vitesse d'apparition du désir et par une forme de proximité directe comme découverte contemporaine du monde.
Il y a une transition des états de l'art, comme on dit transition écologique, apportée par les processus numériques : extension du domaine de la représentation, variation de l'échelle humaine et actualisation constante.
Cette transition est ludique et elle donne envie de jouer.
Elle capte l'attention et permet à chacun d'amorcer ses propres scénarios : c'est un regard actif vers l'objet artistique qui contient une valeur de transmission en dehors des schémas préconstruits d'apprentissage.
Pourrait-on dire qu'à l'origine, la danse est le corps qui joue dans sa plus simple expression ?
Une notion très éloignée du jouer avec son corps et du joue contre joue.
La nuit, les rêves. Le corps endormi continue de jouer. A quoi ?
Mes neurones jouent : c’est leur récréation.
Ils jouent à jouer, comme des enfants. 
Cela a un côté mystérieux, mais ils s’en fichent, ils font comme si personne ne les regarde.
n + n Corsino

Générique

conception et chorégraphie : Nicole Corsino, Norbert Corsino
danse : Kim Jae Duk, Noah, Kim Bora, Choi So Young, Seo Taeji, Lee Jung In, Eoreen, Kim Hansol, Sonamu, Lee Jae Rin, Moon Haewon
scénographie 3d : Patrick Zanoli
création clones : Patrick Zanoli
création musicale : Jacques Diennet 
voix : Annabelle Playe, Claudine Galea
textes : Claudine Galea
traduction : Peter McCavana
développement GOLAEM : Nicolas Chaverou, Stéphane Donikian
développement IMMERSIA : Florian Nouviale, Ronan Gaugne
développement Unreal : Nicolas Hayat
motion Capture Quantic Dream : Florence Fournier, Pierre Tauvel

Production Partenaires

coproduction : Danse34 Productions, GOLAEM, Plateforme IMMERSIA (IRISA), Nvidia, Quantic Dream
Lauréat de l’appel à projet Créativité Croisée 2020, Rennes-Métropole